Lorelle: L’intercorporéité au-delà du « je peux » : Husserl, Merleau-Ponty et Levinas

Cet article entend faire se confronter deux fameux motifs de la tradition phénoménologique inaugurés par Husserl et développés par Merleau-Ponty : (1) le motif du « je peux » comme mode distinctif du corps propre (Leib) ; (2) et le motif de l’intercorporéité comme mode originaire de l’intersubjectivité. L’intercorporéité implique-t-elle le « je peux » comme unique mode de la corporéité ? « Tout ce que je vois par principe est à ma portée, écrit Merleau-Ponty, du moins à la portée de mon regard, relevé sur la carte du “je peux” »1. Mais qu’en est-il donc du corps d’autrui ?
Paula Lorelle, « L’intercorporéité au-delà du « je peux » : Husserl, Merleau-Ponty et Levinas », Alter [En ligne], 23 | 2015, mis en ligne le 01 décembre 2017, consulté le 27 octobre 2019. URL : http://journals.openedition.org/alter/392 ; DOI : 10.4000/alter.392

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"All testing, all confirmation and disconfirmation of a hypothesis takes place already within a system. And this system is not a more or less arbitrary and doubtful point of departure for all our arguments; no it belongs to the essence of what we call an argument. The system is not so much the point of departure, as the element in which our arguments have their life."
- Wittgenstein

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"Le poète ne retient pas ce qu’il découvre ; l’ayant transcrit, le perd bientôt. En cela réside sa nouveauté, son infini et son péril"

René Char, La Bibliothèque est en feu (1956)


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