René Char et Georges de la Tour

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Georges de La Tour peignit plusieurs fois la figure de Marie Madeleine et celle-ci est une de ses œuvres les plus achevées. La jeune femme, autrefois courtisane, convertie par sa rencontre avec le Christ, est absorbée dans sa rêverie religieuse. Elle regarde, sans fixer son regard ailleurs qu'en elle-même, la lampe qui brûle devant des livres entassés, et appuie sa main sur un crâne, symbole de la vanité des choses terrestres. L'œuvre apparaît comme une réflexion simple et directe d'une jeune femme sur sa beauté éphémère et l'éternité des choses célestes. La Tour a volontairement dépouillé la jeune femme de tout accessoire afin de concentrer l'action sur l'aspect religieux de son message.

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"All testing, all confirmation and disconfirmation of a hypothesis takes place already within a system. And this system is not a more or less arbitrary and doubtful point of departure for all our arguments; no it belongs to the essence of what we call an argument. The system is not so much the point of departure, as the element in which our arguments have their life."
- Wittgenstein

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"Le poète ne retient pas ce qu’il découvre ; l’ayant transcrit, le perd bientôt. En cela réside sa nouveauté, son infini et son péril"

René Char, La Bibliothèque est en feu (1956)


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