Revue Études phénoménologiques et Centre d´Études Phénoménologiques

Les Études phénoménologiques, revue fondée en 1985, paraît à raison de deux livraisons par an. Chaque numéro est consacré soit à une œuvre de pensée dont l’inspiration a été, de manière plus ou moins expresse, marquée par la phénoménologie, soit à une question qui fut ou est actuellement l’enjeu d’un débat entre auteurs d’inspiration phénoménologique, ou entre ceux-ci et des auteurs dont les travaux puisent à d’autres sources.
Chaque livraison comporte en outre une rubrique « varia » ouverte à des études indépendantes de l’œuvre ou du thème qui font l’objet premier du volume.
Principalement francophone, la revue accueille également des études en langue anglaise.
La publication ne se réclame pas d’une orthodoxie ; son souci est l’attention vigilante à la fois à un héritage dont le fameux mot d’ordre husserlien zu den Sachen selbst, aussi diverse qu’en fut très tôt l’écoute, a frappé l’emblème, et aux échos, aux prolongements, aux renouvellements de cet héritage dans la pensée contemporaine.
Centre d´Études Phénoménologiques
Le Centre a été créé en octobre 1973 par une convention entre le Husserl-Archief te Leuven d'une part et l'UCL de l'autre. Contresignée par les représentants mandatés de la famille de feu Edmund Husserl, cette convention stipule que l'UCL érige dans le cadre de l'ISP un centre de recherche qui a pour finalité fondamentale de contribuer avec les autres centres d'Archives-Husserl à la mise en valeur scientifique de la pensée de Husserl et du mouvement phénoménologique en général.

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"All testing, all confirmation and disconfirmation of a hypothesis takes place already within a system. And this system is not a more or less arbitrary and doubtful point of departure for all our arguments; no it belongs to the essence of what we call an argument. The system is not so much the point of departure, as the element in which our arguments have their life."
- Wittgenstein

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"Le poète ne retient pas ce qu’il découvre ; l’ayant transcrit, le perd bientôt. En cela réside sa nouveauté, son infini et son péril"

René Char, La Bibliothèque est en feu (1956)


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